Mme Schmidt Ocean Baby est une poudre du Danemark qui ne contient ni phosphates ni parfums, mais avec des enzymes et des tensioactifs. Contrairement aux échantillons précédents, il est prouvé qu’il est hypoallergénique et sans danger. En termes de qualité de lavage, elle n’est pratiquement pas inférieure à la poudre allemande Luxus, qui lave la plupart des taches de différents tissus.
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BioMio Color est un détergent sans phosphate, qui peut être qualifié d’hypoallergénique sous certaines conditions, car il contient des tensioactifs et des enzymes. Cependant, la plupart sont du savon Tena lights by tena long, de l’extrait de coton et des zéolites. Il se rince bien des vêtements sans entrer dans la peau du bébé, ce qui élimine les symptômes d’allergies. La poudre est produite en Russie.
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Pour résumer, notons que même les poudres les plus naturelles peuvent provoquer de légers symptômes d’allergie chez un groupe de personnes. Seulement, cela se produit beaucoup moins souvent qu’avec les poudres, qui contiennent des composants potentiellement dangereux. Toutes les poudres hypoallergéniques ne sont pas chères, elles sont pour la plupart concentrées, elles auront simplement moins de consommation. Soyez prudent lorsque vous achetez des produits chimiques ménagers, après tout, c’est votre santé !
On parle souvent de chiens et de chats hypoallergéniques mais à ce jour les preuves scientifiques en faveur de la présence réelle de races moins sujettes aux allergies sont rares. Dans cet article Tena lights by tena long, nous analyserons ce qui a été démontré par un travail de recherche scientifique intitulé
« Niveaux de Can f 1 dans les poils et les maisons de différentes races de chiens : manque de preuves pour décrire une race de chien comme hypoallergénique ». Chiens de différentes races de chiens : absence de preuves qu’un chien de race pure pourrait être décrit comme hypoallergénique), qui a examiné les niveaux de
Can f 1 (le principal allergène dérivé du chien) présents dans les poils de différentes races de chiens en notant qu’il n’est pas possible de faire des distinctions d’allergénicité sur la base de la race des animaux. Dans l’étude, signée par Vredegoor et al, les races dites « hypoallergéniques » (labrador, caniche, chien d’eau espagnol, airedale terrier) ont été comparées à d’autres races canines considérées comme « non hypoallergéniques
» (golden retriever et 47 autres races, y compris de nombreux croisements), prélevant des échantillons de fourrure dans l’air et les sols des maisons habitées par ces chiens. Les résultats de l’étude ont montré que les niveaux d’allergènes présents dans les poils de chien sont significativement liés à la race mais aussi qu’il existe un degré élevé de variabilité au sein d’une même race.
Les niveaux de Can f 1 étaient en effet dans certains cas significativement plus élevés dans les échantillons prélevés sur des chiens de races considérées comme hypoallergéniques, qui ne sont donc pas moins susceptibles de déclencher des allergies que les autres races.
Malgré la présence de certaines variables, comme la propreté des chiens par exemple, ces éléments n’ont pas affecté significativement les résultats de l’étude. Les conclusions de ce travail sont confirmées par une deuxième étude publiée en juillet 2011.
Dans ce cas également, comparant les niveaux d’allergènes entre races considérées comme « allergènes » ou « non allergènes », il a été conclu qu’il n’y a aucune preuve de la réelle existence de races non allergènes. Et pour les allergènes liés aux chats, un argument similaire peut être avancé. En conclusion, la race de l’animal de compagnie (chien ou chat) n’est pas en soi un facteur fondamental dans la décision, pour la personne allergique, de prendre ou non un animal à domicile.
Lorsque l’animal est déjà présent, cependant, des précautions particulières doivent être prises pour éviter autant que possible le contact avec des allergènes, par exemple éviter la présence d’animaux dans la maison et préférer leur dédier un espace du jardin ou de la cour. Photo : Wikimedia Commons