A quel niveau doit-on fixer le curseur ? 50, 60, 65 ans ? Un peu plus, un peu moins ? Car ceux qui ont initié dans le vocabulaire contemporain cette notion de « senior » devaient bien avoir une petite idée ! Ou alors ont-ils voulu substituer le terme de « vieux » avec un mot plus sobre, passe-partout et qui fait moins mal aux oreilles de celles et ceux concernés par ce qui est considéré comme outrageant dans nos sociétés, où vieillir est une maladie incurable !
Devenir senior ! Pas de panique..
L’âge avance avec cette limite psychologique variable selon les personnes. Et le lendemain d’un anniversaire, on réveille en se disant « Tiens, ça y est, je suis senior ! ». Pourtant, rien ne semble changer, on a la même tête devant la glace, aucune excroissance n’est venue dans la nuit l’enlaidir mais il y a un petit plus en soi qui sonne le départ d’une nouvelle vie. Et c’est à cet instant qu’il va falloir être vigilant.
Tout d’abord ressentir ce bonheur d’y être arrivé en bon état. Si la maladie vient ombrager le tableau, ce n’est pas si grave, l’énergie vitale n’a pas disparu avec ce passage et il convient de continuer à penser positif car ce ressort-là est souvent essentiel pour surmonter tous désordres physiologiques.